Rizu « Reaz » Hinami

Je connais ce forum grâce à Hanyuu. *Hug à Rhèaty.* Je t'aime. *SBAFF!* xD



Nom: Hinami

Prénom: Rizu

Surnom: Reaz

Âge: 16 ans.

Fonction: Nouvelle élève.

Maladie: Oui.

Hinamizawa ? Okinawa ? Tokyo ?:
Hinamizawa. Elle a emménagé depuis peu en compagnie de ses parents, plus précisément, ils sont revenus.

Famille:
Oui. Sa famille proche, ce sont ses parents et son frère ainé, ce dernier n'habitant pas à Hinamizawa avec eux.

Caractère:
Reaz n'est pas quelqu'un de très énergique, le fait qu'elle soit aussi silencieuse qu'inexpressive n'est absolument pas synonyme de fainéantise. Elle n'est ni lunatique, ni associable, simplement ... nonchalante. Non, elle n'est pas nonchalante, elle est vide de vitalité ! Sa façon de vivre est calme et détachée, mais Reaz n'est pas une fille qui se laisse aller. À l'école, elle n'est pas une élève brillante mais, elle travail comme il faut pour être dans la moyenne, car c'est son style : faire ce qu'il faut, ni plus ni moins. Si elle ne va pas vers les autres, ce n'est absolument pas parce qu'elle est victime d'un quelconque complexe, comme un hikkikomori ou autre, elle n'a absolument pas peur des gens. Elle est surtout très tête en l'air et elle pense constamment à tout et à rien, si bien qu'elle en oublie de parler. Mais lorsqu'elle parle, ses mots sont fiables et sûr, elle n'hésite pas et est totalement confiante, bien que son ton semble endormi. Elle est quelqu'un de fondamentalement, bien dans sa manière d'être, elle aide toujours les gosses perdus qu'elle croise dans les supermarchés, elle nourrit parfois les chats des rues, ce genre de trucs inutile quoi. Ah oui, Reaz aime les enfants, chose étrange pour une jeune fille de son âge. Elle a quelques tiques de langage comme « Buh » ou « Gupipih » mais n'en est pas consciente elle-même.

[Dernier stade de la maladie] Pas de sautes d'humeurs, pas de brusques changements de comportement, Reaz est victime d'atroces sensations liées à ses souvenirs. Douleurs dans la poitrine et le ventre, hauts de cœur ... Elle agit alors mécaniquement, vide humanisme, elle ne craint plus la douleur, se baladant pieds nus et s'écorchant la plante. Un vrai zombi. Puis elle se coupe soudainement de tout contacte, marmonnant une même phrase inaudible des heures durant, et finalement, quand ces sensations deviennent plus qu'insupportables, la jeune fille ressent le besoin de faire du mal aux autres, physiquement. Mais ce n'est pas spécialement la souffrance des autres qu'elle recherche, elle a besoin de détruire quelque chose de vivant, d'écraser la vie.

Physique:
Une jeune fille inexpressive aux airs et au timbre endormi.
Dotée d'un physique peu avantageux pour une jeune fille se situant presque au terme de l'adolescence, Reaz est de taille normale, c'est à dire un mètre soixante. Son poids est en revanche insuffisant, avec une masse graisseuse de quarante-deux kilos, c'est donc une personne mince et fine. Sa poitrine est réellement faible, du 75A, la plus petite taille autrement dit. La particularité physique de Reaz, c'est qu'elle est albinos. Ses cheveux sont coloré d'un blanc grisonnant, ils lui tombent un peu plus loin qu'à mis-dos mais, elle les attache constamment en une haute couette, ficelé par de longs noeuds. Son visage en ovale se termine sur un menton pointu, ses grands yeux mauves - rouges sont asse haut placés sur sa face, juste en dessous des quelques mèches en batailles qui cachent ses sourcils et une partie de son front. Ils sont toujours à demi fermés, lui donnant un air somnolente et dans la lune. Son nez est parfaitement centré, ni trop petit, ni trop gros. Plus bas, sa bouche, droite, ni boudeuse ni rieuse, elle la tord par moment pour formé un léger sourire, qui n'en est pas un. Sa peau est vraiment très pâle, peu importe ce qu'elle peu faire. Son style vestimentaire n'a pas vraiment d'importance, elle porte ce qui semble bien lui aller. Dans les tons sombre, c'est très souvent des robes qu'elle revêt, mais elle peut tout porter sans gêne, même les cosplays des perdants.

Histoire:
Rizu Hinami est née dans la clinique du petit village d'Hinamizawa.
Alors que sa mère avait accouché un mois plus tôt que prévu, elle n'eut que quelques jours à attendre avant de pouvoir rentrer chez elle, sa maison. Une jolie famille, papa, maman, grand-frère. Comme tous les ainés, son grand-frère ne voyait pas d'un bon œil l'arrivée de ce petit bébé qui pompait une partie de la grande attention qui à l'époque, lui était réservée. Et comme beaucoup d'ainé, il commença par la rejeter de manière assez violente, il la frappait, lui tordait les doigts de pieds, lui plongeait la tête sous l'eau dans le bain, et bien d'autre petite rebellions enfantines. Mais cela ne dura pas plus d'un an. Rizu quant à elle, était un bébé peu turbulent, quoi qu'asse imprévisible. Elle semblait détachée mais pourtant, elle commença à parler très tôt, vers ses 7 mois, elle savait déjà réclamer par des demis mots, mais même à l'époque, elle ne parlait que quand cela était nécessaire. À un ans, elle savait marcher et lorsqu'elle le voulait, elle parlait aussi bien qu'une enfant de quatre ans. Seulement, elle se focalisait vraiment sur sa mère, elle l'aimait énormément, un peu trop même. Si bien qu'à l'âge de trois ans, elle eut droit à une sorte de thérapie avec l'aide d'un psychiatre, le but étant de la détacher de sa génitrice et d'effacer une partie de cet amour excessif. Seulement, après quelques mois de thérapie, la petite fille semblait perdue, elle venait d'avoir quatre ans et était victime d'insomnies, touchée par la peur, la peur de mourir. Une peur qui s'amplifiait, chaque jour, jusqu'à ce que la petite fille s'enfonce dans un vrai culte, celui d'Oyashirô-sama. À six ans, elle n'avait plus peur de la mort, car Oyashirô-sama était là, près d'elle, mais en parler aux autres n'était pas utile.

Son grand-frère et elle étaient sortis dans le village pour faire quelques courses, la petite Rizu se sépara de son ainé le temps que ce dernier achète du pain. Seulement, elle s'est éloignée plus que de raison, à suivre telle ou telle trace, tel ou tel papillon, la voilà sur un sentier dans la forêt. Un bruit raisonne dans les feuillages, bientôt, une queues dépasse d'un buisson, un petit chien vient de sortir de la pénombre, son court pelage blanc est vraiment très sale, la petite fille ne bouge pas, elle ne le regarde même pas, elle écoute. La bête s'approche lentement d'elle et de sa petite patte, elle frotte la jambe de l'enfant.

- ...

Un petit hurlement, elle vient de donner un puissant coup de pied dans le ventre du chiot. Il s'est presque envolé et a cogné dans un arbre, quelques couinements, il se relève difficilement et grogne alors que la gamine s'approche de lui, le fixant d'un regard vide.

- Oyashirô-sama ordonne, alors je vais le faire, parce que quand Dieu parle, on l'écoute, hein ?

Elle donne encore un coup de pied à l'animal, et un autre, et un autre, encore et encore, une main agrippée à son propre torse, comme pour calmer une sorte de douleur. Elle s'acharne sur le petit corps, maintenant sa chaussure est tachée de sang, le liquide pourpre a même giclé sur ses jambes, sur sa robe, sur son visage.

Le temps passe et le garçon cherche sa cadette, il a surtout peur de se faire groner par ses parents s'ils apprennent qu'il a laissé Rizu seule. Il l'a chercher des heures dans tout le village et il l'a cherche maintenant dans la forêt. Mais alors qu'il écarte les branches en criant son nom, il se stop, ses yeux sont écarquillés, il vient de la retrouver. Sa petite sœur est tachée de sang, ses mains sont couvertes de terre, elle a creusé un petit trou et fait lentement glisser le corps mutilé du chiot à l'intérieur ... Lui il ne bouge pas, il la regarde, mais bizarrement, il n'est plus choqué. Son visage est sombre, pourtant il ne dira rien à personne sur ce qu'il vient de voir, jamais. Il se contente de lâcher sur le moment :

- Les enfants qui plus tard deviendront psychopathe commencent par tuer les petits animaux ...

- ...

Alors que Rizu venait d'avoir huit ans, elle, ses parents et son frère déménagèrent d'Hinamizawa pour partir vers la grande ville, Tokyo. Là-bas les années s'enchaînèrent, mais la fillette continua de suivre des thérapies, les visite chez le médecin et les vaccins, pour un oui ou pour un non : problème de notes à l'école, difficultés à aborder un quelconque sujet, et j'en passe. Finalement, c'est une fille asse spéciale, ces quelques pseudos amis, ainsi que son frère la surnomment Reaz, ce qui sans la ravir, ne lui déplait pas. Ce surnom, c'est parce qu'elle tire par moment ses joues, pour afficher un sourire, qui n'en est pas un. (Risette ?! ôO Mais franchement, à quoi je pense moi la narratrice ?! xD)

Le temps passe et la jeune fille oublie, elle oublie ce fanatisme, cette sensation qui embouait sa poitrine et son cœur. Elle oublie Hinamizawa ...

Aujourd'hui, Reaz porte ses cartons, elle a fait un salut officiel à sa classe avant de partir. Elle et ses parent partent vivre dans un petit village dont l'air lui semble familer et lui est très agréable. Quelques mois avant qu'elle ne parte de Tokyo, elle a arrêté les visites chez le psychiatre et le médecin. Elle n'a pas fait le rapprochement, mais depuis l'arrêt total de ces thérapies, elle était (re)devenu fade, ses gestes étaient mécaniques, vides, inhumains. Maintenant qu'elle s'est installée dans sa nouvelle maison, elle est redevenue normale, elle va vraiment bien. Et elle va devoir entrer à l'école, une petite école, ça doit être mieux qu'une trop grande ... Gupipih~ ?

Besoin de test RPG ?:
J'ai pas envi. *SBONG* Okay maggle, si vous me le demandez, je le ferais en fermant ma yeule, évidemment. xE

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